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À la Une du vendredi 19 juillet

Posted on 19 juillet 201917 juillet 2019 by La Revue Agricole de l'Aube
Posted in Local et Régional

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Maïs fourrage : des récoltes à partir du 25 août
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Brèves

  • Manifestation du 8 février: la FNSEA élargit le mot d’ordre à toutes les filières

    «La FNSEA appelle tout son réseau et l’ensemble de ses filières à se mobiliser à partir du 8 février à Paris et jusqu’au 20 février dans toute la France», annonce le syndicat dans un communiqué le 3 février. La FNSEA Grand bassin parisien, la CGB (betteraviers) et plusieurs FDSEA et fédérations locales des JA appelaient déjà à manifester mercredi 8 février à Paris pour protester contre la fin de la dérogation accordée aux néonicotinoïdes sur les betteraves. En brandissant la bannière de la «souveraineté alimentaire», la centrale syndicale élargit le mot d’ordre à toutes les productions, déplorant les «contraintes réglementaires de tous ordres», les «impasses» en matière de pesticides et de prédation, ou encore les «tentatives des distributeurs de brader nos produits».
  • Crise viticole: Fesneau promet des «premières réponses concrètes» début février

    Des «premières réponses concrètes» à la crise viticole seront apportées «au tout début du mois de février», a annoncé au Sénat Marc Fesneau lors des questions au gouvernement le 25 janvier. Un rendez-vous de la filière avec le ministre de l’Agriculture a été décalé du 26 janvier au 6 février «en raison de contraintes d’agenda et de sujets et propositions qui nécessitent un temps d’expertise supplémentaire», indique son entourage. Interrogé par le sénateur Henri Cabanel (RDSE, Hérault), Marc Fesneau a admis que la situation est «grave» pour le secteur vitivinicole. «On a sur la table trois ou quatre dispositifs», à la fois conjoncturels, avec la poursuite du PGE (Prêt garanti par l’État), l’aide au stockage ou à la distillation, mais aussi structurels, avec l’arrachage, a expliqué le ministre.
  • Colza: des OGM ont poussé près du port de Rouen, l'Anses prône une meilleure surveillance

    D'après un avis de l'Anses paru le 17 janvier, des pousses de colza génétiquement modifié, résistantes au glyphosate, ont été détectées en France au printemps 2022 par les services du ministère de l'Agriculture. Les plantes ont été repérées à la suite de l'alerte de l'association spécialisée Inf'OGM en bordure de route, dans une zone industrialo-portuaire de la banlieue de Rouen; la date de leur dissémination est inconnue. Les plantes ont été éliminées par voie mécanique (fauche, débroussaillage). Les graines, qui bénéficiaient d'une autorisation d'importation, étaient destinées à l'usine de trituration Saipol (groupe Avril), selon l'Anses, qui recommande un renforcement notable de la surveillance des risques de dissémination.
  • Néonicotinoïdes: report du conseil de surveillance au 26 janvier

    Par un e-mail envoyé dans la soirée du 19 janvier, le sénateur Pierre Louault (Indre-et-Loire, centriste), président du comité de surveillance des néonicotinoïdes, a reporté au 26 janvier la réunion prévue le 20 janvier pour statuer sur la dérogation pour 2023. «Ce report est dû à la nécessité d’analyser les implications de l’arrêt de la CJUE», précise le sénateur. Le ministère de l’Agriculture, «prenant acte» de la décision du président, indique dans un communiqué que ce délai supplémentaire sera utilisé «pour expertiser les conséquences juridiques de cette décision en droit français et les conséquences pour la campagne de production qui s’ouvre».
  • Néonicotinoïdes: pas de troisième dérogation pour la filière betteravière

    «Il n’y aura pas de troisième dérogation pour les néonicotinoïdes», a déclaré le ministre de l’Agriculture Mars Fesneau le 23 janvier à l’issue d’une réunion avec les professionnels de la filière betteravière. Saisie sur la dérogation accordée par la Belgique aux semences enrobées de néonicotinoïdes (NNI), la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) avait conclu dans un arrêt rendu le 19 janvier que les États membres ne peuvent ré-autoriser des molécules «expressément interdites». À six semaines des semis de betteraves, il s’agit «d’un coup difficile», a souligné le ministre de l’Agriculture, qui a annoncé la mise en place «d’un dispositif qui permettrait de couvrir les pertes liées à la jaunisse, et ce le temps de trouver les alternatives dont la filière a besoin», sans en préciser l'enveloppe.
  • Néonicotinoïdes: Fesneau promet de couvrir «intégralement» les pertes

    Interpellé à l'Assemblée par trois députés de départements betteraviers le 24 janvier lors des questions au gouvernement, Marc Fesneau a détaillé les mesures envisagées par le gouvernement pour faire face à la jaunisse. «La responsabilité, c’est de détailler ce que nous allons faire […] pour donner de la visibilité à la filière». À court terme, pour 2023, la décision de la Cour de justice de l’Union européenne impose «de garantir aux planteurs qu’ils puissent être couverts intégralement des pertes du fait de l’apparition par les pucerons de la jaunisse qu’ils pourraient avoir suite à l’apparition de la jaunisse en 2023», a souligné le ministre, en écho aux revendications de la CGB (betteraviers). Le ministre prévoit également de travailler avec les autres acteurs de la filière, afin de «nous assurer que les outils industriels sont préservés».
  • Loi d’orientation : le ministère de l'Agriculture précise le calendrier et l’organisation

    La première réunion de concertation autour du volet «transition» de la future loi d’orientation agricole, le 20 janvier, a permis au ministère de l'Agriculture de détailler le calendrier de travail, mais aussi de rappeler les bases scientifiques du changement climatique à près d’une centaine de participants à distance. Pour la partie nationale de la concertation, des premières contributions sur les verrous aux transitions sont attendues par le ministère d’ici le 3 février en vue d’une prochaine réunion le 17. Les acteurs seront d’ici là répartis en plusieurs sous-groupes, dont au moins un consacré aux grandes cultures, et un autre à l’élevage. Les contributions régionales seront présentées fin avril à tous les participants, en vue d’un atelier autour de l’ensemble des propositions le 17 mai.
  • HVE: ONG et agriculteurs bio déposent un recours au Conseil d’État

    Générations Futures, l'UFC-Que choisir, la Fnab (producteurs bio) et le Synabio (transformateurs/distributeurs spécialisés bio) annoncent dans un communiqué du 23 janvier avoir déposé un recours auprès du Conseil d’État sur la Haute valeur environnementale (HVE) «pour faire reconnaître la tromperie du consommateur qui dure depuis plus de dix ans et mettre un terme au greenwashing». S’appuyant sur le rapport publié en fin d'année par l’OFB (Office français de la biodiversité) et des bureaux d’étude sur l’ancien cadre de la HVE, les signataires estiment que la révision du cadre «n’a pas amélioré la situation» et dénoncent «l’utilisation d’intrants chimiques comme des engrais et pesticides de synthèse particulièrement néfastes pour l’environnement ou pour la santé humaine».
  • Influenza: onzième foyer dans le Gers en un mois, et une suspicion en cours

    Alors que le «plan Adour» prévoyait les remises en place de palmipèdes dans le Sud-Ouest à partir du 15 janvier (après un mois de vide sanitaire), la préfecture du Gers a annoncé, dans un communiqué le 24 janvier, la confirmation d'un nouveau cas d'influenza dans la commune d'Ayzieu, le onzième depuis un mois dans le département. Il s'agit du sixième cas dans le département depuis le 15 janvier, les cinq suspicions dévoilées le 19 janvier ayant été depuis confirmées, selon la préfecture. Dans ce même communiqué du 24 janvier, elle annonce par ailleurs qu'une nouvelle suspicion est en cours dans un élevage de poulets sur la commune d'Eauze.
  • Pollinisateurs: une nouvelle stratégie européenne sans réels moyens

    La Commission européenne a présenté le 24 janvier une version révisée de son initiative sur les pollinisateurs adoptée en 2018, visant à inverser le déclin des pollinisateurs (abeilles, papillons, syrphes) d'ici à 2030. La première version avait été critiquée pour ses nombreuses lacunes. Sur le volet des pesticides, que le commissaire européen à l’Environnement Virginijus Sinkevicius considère comme «l’une des principales menaces pour les pollinisateurs», la plupart des mesures prévues sont déjà en discussion et assez largement malmenées par les Etats membres: révision de la réglementation sur l’utilisation durable des pesticides, mise à jour du guide d’évaluation des risques ou encore proposition de règlement sur la restauration de la nature. De plus, Bruxelles promet de surveiller plus attentivement les autorisations d’urgence accordées pour les pesticides nocifs pour les pollinisateurs (déjà remises en cause par un récent jugement de la Cour de justice de l’UE).
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