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Jour : 1 août 2019

À la Une du vendredi 2 août
1 août 2019 No Responses

À la Une du vendredi 2 août

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Brèves

  • Bovins/DNC : en Ariège, les éleveurs foyers acceptent l’abattage, encore des tensions

    Les éleveurs du Gaec de Mouriscou, aux Bordes-sur-Arize (Ariège), ont finalement accepté l’abattage de leurs 208 bovins, parmi lesquels avait été détecté un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a annoncé la préfecture dans un communiqué le 11 décembre. Depuis la matinée du 10 décembre, plusieurs centaines d’agriculteurs (CR et Conf’ notamment) s’étaient rassemblés sur place afin de tenter empêcher l’abattage sanitaire. Après intervention des forces de l’ordre, « un expert et un vétérinaire se sont rendus sur l'élevage », rapporte France 3 Occitanie. L’abattage devait avoir lieu « dès que possible », a indiqué le préfet lors d’une conférence de presse en fin d’après-midi. Malgré l’appel du représentant de l’État à quitter les lieux, « un noyau de manifestants » était toujours sur place en début de soirée, occasionnant des tensions avec la gendarmerie, selon France 3.
  • Bovins/DNC : la maladie atteint l’Ariège et les Hautes-Pyrénées, nouvelles mobilisations

    Un foyer de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) a été confirmé en Ariège, le premier dans ce département, a annoncé la préfecture le 9 décembre, d’après Ici (ex-France Bleu). Il se situe à Les-Bordes-sur-Arize, dans le nord du département (à une cinquantaine de kilomètres au sud de Toulouse), non loin des Pyrénées-Orientales, où 20 cas sont déjà dénombrés. Il s’agit du 109e foyer depuis l’arrivée de la maladie en France fin juin. Selon la presse locale, plusieurs dizaines d’agriculteurs (50 selon l’AFP, 200 selon les manifestants) se sont rassemblés sur l’exploitation, à l’appel de la Coordination rurale, afin de tenter d’empêcher l’abattage des 200 bovins présents. De leur côté, les forces de l’ordre sont « massivement déployées », rapporte La Dépêche (article payant).
  • Betteraves : Genevard valide des dérogations pour deux produits anti-pucerons

    Lors de l’assemblée générale de la CGB (betteraviers, FNSEA) qui s’est tenue à Paris le 9 décembre, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a annoncé l’octroi de dérogations pour deux produits de traitement contre les pucerons, vecteurs de la jaunisse, utilisés en cultures betteravières : le Movento, et l’Insior, ce dernier étant un produit de biocontrôle. « Les éléments scientifiques connus ne font pas obstacle à de futures dérogations de 120 jours pour les produits Movento et Agriodor (entreprise ayant développé l’Insior, commercialisé par Syngenta, NDLR) », a-t-elle déclaré, précisant avoir validé le principe de ces dérogations le soir du 8 décembre.
  • Engrais : Bruxelles apporte quelques ajustements au MACF

    La Commission européenne a adopté le 10 décembre trois règlements d’exécution (ici, là et là) qui seront publiés sous peu, adaptant certains éléments du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières de l’UE (MACF) qui doit entrer en vigueur le 1er janvier afin notamment de limiter l’augmentation des prix des engrais. Bruxelles a corrigé les valeurs de référence et valeurs par défaut pour ces produits. Mais, pour les organisations et coopératives agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) qui plaident depuis des semaines pour un report de l’entrée en vigueur du MACF « force est de constater que cela ne résoudra pas le problème ». ​​​​​​Le Copa-Cogeca prévient qu’un élément clé du calcul du MACF « demeure inachevé : le certificat carbone », ce qui empêche les mélangeurs et importateurs d’engrais de passer de nouvelles commandes « étant donné que le prix du CO₂ peut fluctuer considérablement sur trois mois ».
  • Engrais/MACF : Hansen espère abaisser le surcout autour de 40 à 50 €/t (syndicat)

    À l'occasion du congrès de l'association spécialisée Légumes de France, à Arras le 5 décembre, le président de la FNSEA a rendu compte de son entretien, en début de semaine, avec le Commissaire européen à l'agriculture, portant notamment sur l'effet du MACF (ajustement carbone aux frontières) sur les importations d'engrais, qui doit être mis en œuvre au 1er janvier. Christophe Hansen lui aurait confié qu'il espérait atténuer le surcoût du MACF, à un niveau de 40 à 50 €/t, en mettant en place des mesures compensatoires. La piste explorée serait celle d'une baisse des taxes sur les importations d'engrais en provenance du continent américain. Selon les calculs de l'AGPB (producteurs de blé, FNSEA), cette taxe représenterait un surplus de 120 €/t pour les solutions azotée (soit une augmentation d'un tiers) et de 144 €/t pour l'urée (idem).
  • Agenda de la semaine agricole du 15 décembre 2025

    Lundi 15 décembreLes sénateurs poursuivent l'examen du PLF 2026 en seconde lecture (dépenses)Procès du collectif Bretagne contre les fermes-usines, à LorientRestitution de l’expérimentation de chèque alimentaire en Seine-Saint-DenisMardi 16 décembreLa Commission européenne présente son paquet omnibus de simplification sur les pesticides et la sécurité alimentaireLa Commission européenne présente ses propositions de simplification du règlement bioLa Commission européenne présente son plan sur la santé cardiovasculaireLa Commission européenne présente le premier volet de sa loi sur les biotechnologiesLe Parlement européen examine la clause de sauvegarde agricole de l'accord UE-MercosurRéunion du Groupe national captagesRéunion de la commission des Comptes de l'agricultureConférence de presse de la Noriap (coopérative)Conférence de presse APBO/Bel (lait)Forum Drosophila suzukii de l’Inrae à Lyon, jusqu’au 17Rencontre technique CTIFL « Protection bio en légumes sous abris en région méditerranéenne », à Balandran (Gard)Visioconférence de Vegepolys sur l'« autonomie énergétique des exploitations agricoles »Mercredi 17 décembreConvention InVivo (union de coopératives)Rapport parlementaire sur les contrôles des produits importésMonique Barbut (MTES) auditionnée par les députés de la Commission développement durableConférence de presse du Sia’Pro (observatoire des tendances de l'innovation)Journée d’étude du Conservatoire du littoral sur inventorier la biodiversitéVisioconférence de Vegepolys sur la « stratégie carbone et changement climatique pour les vins de Loire »Jeudi 18 décembreLe Sénat discute en plénière...
  • Climat : une prospective inédite sur la rentabilité des exploitations françaises à 2050

    Dans une étude diffusée le 11 décembre, le Crédit agricole, Invivo, Sofiproteol et Unigrains ont modélisé, avec McKinsey, ce que pourrait devenir la rentabilité des exploitations françaises conventionnelles à horizon 2050, selon trois scénarios (voir les résultats détaillés dans Agra presse). Dans un scénario dit «d’adaptation retardée» (+2,3°C), les rentabilités (EBE) par hectare chutent si les pratiques n’évoluent pas, de 5 à 72% selon les types de fermes. Les grandes cultures irriguées du Sud et celles du Grand Est seraient très touchées. La dynamique est différent à l'échelle de l'exploitation, dont la taille va grandir : seuls quatre systèmes sur neuf voient leur EBE reculer. Les trois archétypes liés à l’élevage (bovin viande, lait et polyculture) progressent même, grâce à l’agrandissement qui bénéficie aux cultures de vente. 
  • Normes sanitaires : Bruxelles annonce un renforcement des contrôles aux frontières

    Le commissaire européen à la Santé, Olivér Várhelyi, a annoncé, le 9 décembre à l’issue d’un dialogue avec les parties prenantes, le renforcement des contrôles aux frontières de l'UE et dans les pays tiers en particulier en ce qui concerne les résidus de pesticides. Bruxelles s’engage notamment à augmenter de 33% les audits des postes de contrôle frontaliers européens, de 50% le nombre d'audits réalisés dans les pays tiers au cours des deux prochaines années et à renforcer la surveillance des produits et des pays non conformes, avec une augmentation de la fréquence des contrôles si nécessaire. Au moins 10 personnes vont être recrutées dans les principaux ports de l’UE. Si cette charge reposera majoritairement sur les épaules des Etats membres, la Commission européenne promet de prendre part à l’effort, sans toutefois donner de chiffres. Afin d’assurer une mise en œuvre efficace de ces engagements, une task force dédiée prendra ses fonctions début 2026.
  • Financement : Genevard propose de créer un « fonds souverain agricole »

    À l'occasion du lancement des « Conférences de la souveraineté alimentaire » le 8 décembre, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a proposé de créer un « fonds souverain agricole ». Ce fonds pourrait « permettre aux épargnants qui aiment les agriculteurs de choisir d’investir dans leur alimentation », d'« inciter les acteurs de l’aval et de la distribution, l’État lui-même, à contribuer aux financements des investissements de leurs fournisseurs pour sécuriser leurs approvisionnements ». Interrogé par Agra Presse, son cabinet indique que ces travaux partent de zéro : pas de lien avec le fonds de garantie de 2 Md€ porté par Marc Fesneau dans le cadre de la loi d'orientation agricole. La proposition fait écho à celle portée par Laurent Duplomb en 2024, de créer un « livret Agri », et à celle de Jean-Baptiste Moreau en 2018 de créer un fonds public-privé de 600 M€ pour la « transition agroécologique », toutes deux restées sans suite.
  • Déforestation : les négociateurs des Vingt-sept et du Parlement valident le report

    Les représentants du Parlement européen et du Conseil de l’UE ont trouvé un accord, le 4 décembre, sur la simplification du règlement pour lutter contre la déforestation, ouvrant la voie à une validation de son report avant la fin 2025. Les deux institutions doivent encore formellement adopter cet accord dans les prochains jours. Le Parlement et le Conseil avaient une position très proche sur ce dossier, à savoir reporter d’un an (jusqu’au 30 décembre 2026) l’entrée en vigueur de la législation, contrairement à la révision ciblée proposée par la Commission en octobre. Principale évolution : l’ajout d’une clause de revoyure au 30 avril 2026, à l’occasion de laquelle l’exécutif sera appelé à simplifier le dispositif avant même sa mise en œuvre.
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